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    Claustrophobie
     
     
    Jour 1
    J'entends la porte se refermer derrière moi. Quelle idée ai-je encore eu ? Je sens mon c½ur s'accélérer. Ce n'est pas le moment ! Je garde mes yeux fermer et prend une grande respiration...
    -Black Sand ?
    Le guide... je l'entends le l'autre côté de la porte... elle est peut-être moins épaisse que ce que je pensais. Il faut que je sorte d'ici :
    -Qu'est-ce qui s'ait passé !
    -La porte semble avoir un système de défense. C'est incroyable ! Qui aurais cru que ce mécanisme marche encore après tant d'années, de siècles même ! L'étude de ce mécanisme pourrait...
    -Je me moque de cette porte ! Faite moi sortir !
    -Hey bien... Sa ma l'aire complexe, il faut que j'étudie le mécanisme pour pouvoir l'ouvrir. Ça risque de prendre du temps.
    -On pourrait très bien le laissez là, ce n'est pas une grande perte.
    Léo ? Essayerais-t-il de partir avec le guide sans moi ? Hors de question ! J'ai mis tous mes stratagèmes en ½uvre pour que ce guide accepte de nous conduire à ce tombeau pour trouver une source de puissance incroyable pour soumettre ce royaume et il cherche à se débarrasser de moi et de récupérer mon plan ! Ce n'est pas parce que je suis enfermé que je vais me laisser faire !
    -Dois-je te rappeler QUI à trouver le guide et le tombeau ?
    -Mon très cher ami. Tu le sais toi-même. Notre coopération n'est que temporaire, et si elle doit s'arrêter ici, ce n'est pas mon problème.
    Mon c½ur s'accélère encore. Ce n'est pas le moment ! Si je ne fais rien, Léo vas partir... que faire ? ... Hors de question que je fasse des larmes de crocodiles pour le soumettre ! ...Et je n'ai aucun moyen de pression... Quoi que...
    -Et comment comptes-tu partir sans la carte ?
    -Le guide est toujours avec moi.
    -C'est moi qui est l'argent pour le payer.
    -J'ai mes crocs.
    -Il ne sait que trop peu que tu ne peux le tuer, car sinon, tu resteras dans ces tombeau pour toujours. Question menace efficace, on a vu mieux.
    Je le tiens ! Cette fois, il sera obligé de me faire sortir ! Je l'entends grogner d'ici. Il se pense meilleur que moi... c'est pitoyable.
     
     
    Jour 2
    Je sens des courants d'air frais... Ils n'y a pourtant aucune issus... Seulement deux porte qui se sont fermer à mon entrer... d'où provient cette aire alors ? Le noir est de plus en plus pesant... Je ne sais pas quelle heures il est, ni depuis combien de temps j'attends mais il y a une chose que je sais, c'est que ça fait trop longtemps. Je sens mon c½ur s'accélérer à chaque seconde que je passe ici. Que font-ils ? Ce n'est qu'une porte ! Pourquoi n'est-elle toujours pas ouverte ? Il faut que je sorte. Je sens mes yeux devenir humide. Hors de question ! Ce n'est pas le moment ! Je me redresse et les essuies. Il faut que je me calme. Je vais bientôt sortir. Oui. Je serais bientôt dehors... Je commence à avoir chaud... Il faut que cette porte s'ouvre.
     
     
    Jour 3
    Hm... ? Quel est ce bruit ? Que font-ils ? Une scie électrique ? Ils coupent la porte à la scie électrique ? Je m'éloigne de la porte. J'entends un drôle de bruit.
    -Merde !
    Que s'est-il passer ? Je m'approche de la porte et ramasse ce qui semble être un morceau de la scie... non...
    -Désoler ! Je crois que cette porte est plus solide que je ne le pensais. C'est incroyable quand même. Je vais trouver autre chose.
    Non... non... non... Je sens mon c½ur s'accélérer... je n'arrive plus à respirer... Il... Il faut que je sorte. Je saisie le morceau de scie et commence à essayer de scier la serrure... Hum ! ... Ma main... je crois que ça a été plus efficace sur ma main que sur cette serrure... Il faut que je sorte. Je marche en rond... beaucoup de temps est passé, je ne sais pas bien exactement... je n'en peux plus, Il... Il faut que je sorte. Je... encore ce courant d'air ? Mais d'où vient-il ? Je... je ne veux pas le savoir... je veux sortir, vite... Je fonce plusieurs fois sur la porte. Les larmes me monte aux yeux mais je continue pendant encore plusieurs heures sans doute. Je fini par m'arrêter. Mon épaule me fait mal... tout ce noir devient flou à cause de mes larmes... Je suis trop fatiguer...
     
     
    Jour 5
    Je n'arrive plus à dormir... Je regarde un plafond que je ne voie pas. J'étouffe. Ma respiration est saccader à cause des pleures que j'empêche de tomber. J'ai peur...
     
     
    Jour 7
    J'ai mal de partout. Sa doit faire quatre jours que je fonce sur cette porte, et les autres murs proche sans aucun résultat... Et encore ce courant d'air ? Il y a quelqu'un ! Ou quelque chose ? Ou suis-je seulement paranoïaque ? Encore se souffle... je veux sortir... je... me larmes coulent, je ne contrôle plus rien, je n'en peux plus, sortez-moi de là...
     
     
    Jour 9
    Ce bruit... qu'est-ce que c'est... la porte ? Elle s'est ouverte ? Je crois... Je vais enfin sortir ? Combien de temps est-ce que j'attends ce moment ? Mes dernières larmes coulent et mon c½urs ralentie à un rythme normale. Enfin la lumière... Je voie ce qui me semble être Léo s'approcher. J'espère que l'on va sortir, et qu'il va oublier pourquoi on était venu ici. Je ne veux plus revenir et repenser a cette enfer.
     
     
    

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  • Dossier N°1                                                                                         Sujet : Black Sand
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    Il n’y a pas de petit plaisir dans la vie. Il suffit juste de savoir apprécier chacun d’entre eux. Léo est une source de jouissance infinie pour moi. Il est si facile de le faire sortir de ses gonds. Etrangement, il semble toujours excuser mon comportement… Et moi qui pensais naïvement qu’il fallait être intelligent pour être un si grand chasseur ! Il faut croire que sa haine pour le Pharaon surpasse celle que j’ai pour ce royaume. Il est tellement aveugler par cette haine qu’il me laisse ruiner sa réputation, des années de construction, réduit à néant, par un simple serpent. Serpents qu’il se vente de chasser, tuer, manger, effrayer et j’en passe alors que je me promène sous son museau sans que jamais il ne m’attrape. A croire qu’il ne chasse que des serpents de moins de treize ans, malade ou à moitié mourant, et isolé du reste du monde.

    Il prêtant que j’ai ruiné sa réputation… je n’ai fait que finir un travail déjà bien entamé. Il l’a ruiné tout seul en acceptant mon offre. Et c’est tellement excitant de l’enfoncer encore plus au fond du gouffre. Chaque fois qu’il croit que je lui ai fait la pire réputation au monde, je trouve encore le moyen de faire pire. C’est tellement simple ma fois !

    L’autre jour, par exemple, j’ai été contraint de retourner au royaume pour dormir, Léo m’ayant chassé de cher lui en raison d’une longue histoire pas très intéressante. J’ai donc eu le temps de trouver un moyen pour lui faire regretter sa petite crise de fierté. Je lui ai donc acheté une adorable tenue de Maid… avec quelques petits accessoires dont j’aurais pu me passer mais je n’avais pas vraiment prévu la suite. Enfin ! Je suis donc retourné cher lui en toute innocence lui apporter mon cadeau, et sans doute laisser dépasser deux trois éléments du tipi pour laisser les rumeurs s’envoler. Je ne pensais pas qu’il avait invité quelques-uns de ses bons amis pour se vanter de m’avoir éjecté de sa demeure. Et puis bon, ce n’était pas si important, le choc serait juste plus difficile à avaler pour Léo. J’ai donc commencé ma mise en scène :

    -Ce ne fut pas facile, mais je l’ai quand même trouvé… Et bah mon chou, je pensais que tu voulais être discret.
    -Qu’est-ce que tu fous ici ! Je t’avais dit de ne plus revenir ! Me dit-il
    -La nuit dernière, tu étais beaucoup plus délicat. Regarde, donc ce que j’ai trouvé. Lui répondis-je en lui montrant la tenue
    -Mais de quelle lubie est tu de nouveau frappé ? Tu comptes vraiment t’habiller comme ça ? Se moqua le lion

    -Mais c’est loin d’être ma taille mon chou, j’ai même pris la liberté de nous acheter quelques petits jouets pour pimenter nos nuits.
    Les autres lions était choqué, et regardait Léo d’un aire de dégoût. J’eu un petit sourire au coin.

    -Vous n’allez pas croire ces conneries ! Se défendit Léo
    Les autres lions étaient perplexe. Léo comptait bien leur prouver que je mentais.
    -Regarder ! Je suis sure que ce sacs ne contient en réalité que de l’aire ou du sable.
    Sans que je ne puisse faire quoique ce soit, il me prit le sac des mains et le vida d’un coup sur le sol. Son regard et celui de ses amis était à se rouler par terre. Il n’avait toujours pas comprit que je ne faisais jamais les choses à moitié ? Je me suis mordu fortement les lèvres pour ne pas éclater de rire et paraitre simplement gêné. Ils sont tous sortie dégouter me laissant seul avec Léo. Il était en colère… même très en colère… ce que ne m’as pas empêché de bien me moquer de lui. J’ai sans doute mérité les deux trois gadgets reçut en pleine face. Heureusement que je les avais acheté neuf ! Ha, ha… vous n’avez aucun humour…

     


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  • Sketch 1
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    Rencontre

    La journée commençait bien. Le soleil brillait, c'était l'heure de la récréation. Deux hérissons, des jumeaux, discutait entre eux quand une hérissonne noire passa et retint l'attention de l'uns d'eux. Il se dirigea vers la hérissonne au long piquants noir, s'accouda a un mur et commença d'un aire dragueur :
    -Salut toi, moi, c'est Siro, Siro Ritk. Et toi, c'est quoi ton petit nom ?
    -Pas intéresser. Dit-elle avant de tourné talon.
    -Qu... Quoi ! Tu pense que je ne vais voir les filles que pour la drague ?
    Elle le regarda de la tête au pied avant de déclarer un : « Oui » et de partir.

    Deux heures de cours passèrent. La hérissonne retrouva une lapine marron dans la cours de récréation. Les deux amies furent surprise de voir un attroupement près d'un mur et se décidèrent a allez voire...
    -Hé Bah ! il fait pas les chose a moitié ! Déclara la lapine
    En effet, sur le mur était peint un grand portrait de la hérissonne.
    -Hmpf ! Il est surtout ridicule. Allez, viens Slina, on part !
    A ses mots, elle se retourna et tomba nez a nez avec le hérisson noir et orange :
    -Sa te plait ? J'ai passer deux heures à le faire rien que pour toi.
    -Tu es pathétique. Ici, c'est moi qui drague les mecs, pas l'inverse.
    -Faudra t-y habituer, car je suis pas près de lâcher l'affaire.
    Il commençait a s'approcher de la hérissonne quand il fut interpeller :
    -Hé toi ! Ecarte toi de ma copine de suite !
    -Quoi ! Ta déjà un mec ? Dit-il déçut
    -Non, c'est juste un ex tenace...
    Le hérisson laissa la hérissonne pour s'approcher du nouvelle hybrides.
    -C'est plutôt a toi de ne pas t'approcher d'elle. Elle t'as plaquée, c'est pas dure a comprendre.
    -Non ! On s'aime, on seras ensemble pour la vie !
    -Ah bon ? Alors pourquoi elle viens d'accepter de sortir avec moi , Nargua le hérisson avant que l'hybrides ne lui saute dessus.
    La hérissonne noir tenta de séparer les deux garçon mais eu seulement le droit a un coup de poing de son ex.
    -Hey ! S'exclama Siro avant de retourné un droite a l'hybrides puis de se faire séparer par un surveillant. Les trois hybrides furent emmener cher le principale qui était bien décider a les coller tout les trois.
    -Non ! Elle, elle n'y ai pour rien. Elle s'est juste reçut une claque car cet imbécile ne sais pas visé ! Elle n'a pas a être sanctionner pour nos actes.
    La hérissonne était très surprise mais put sortire du bureau. Elle décida de rester devant la porte et d'écouter la conversation. Les deux hybrides finirent par sortir.
    -Siro !
    -Non, j'ai comprit, je lâche l'affaire, j'arrête de t'embêter.
    Celui-ci commença a partir :
    -Amélia.
    Il se retourna surprit.
    -mon nom est Amélia the Hedchidna, ravi de te connaître.


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  • Sketch 2
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    La demande

     Les deux serpents avait passé la journée ensemble.
    Ça avait été une très belle journée. Le désert avait été calme, ensoleillé comme toujours, mais avec de léger nuage blanc coton. Les deux jeunes reptiles avais passé leurs temps à se balader, non loin de l’oasis, où ils avaient déjeuné sur l’herbe verte, avec quelques fruits.

    Les deux cobras passait déjà depuis plusieurs temps leurs journée ensemble. Ils s’aimaient passionnément et aimaient sentir chacun la présence de l’autre.
    Les deux serpents s’était arrêter et installer sur les rochers, non loin du Palais de sable, afin de pouvoir admirer le coucher du soleil.
    Il était rare que les tempêtes de sable cessent dans le désert, mais ce jour-là, le sable volais avec légèreté sur le vent, et caressait le ciel avec douceur.
    Les deux tourtereaux étaient assis, l’uns à côté de l’autre, leur main posé l’uns sur l’autre sur le rocher.
    Le serpent regarda sa dulcinée, il y avait beaucoup réfléchit, le moment de prendre une décision été venu. Il se laissa glisser le long du rocher sur lequel il était assis, et se mis debout face à la reptiles :
    -Katia…
    -Oui R-Strof ?
    Le serpent la regarda, prenant son souffle, tandis que son cœur partait à cent à l’heure.
    -Je… J’y ai beaucoup réfléchi ce temps ci et… je ne peux pas rester sans réponse éternellement.
    Il se rapprocha et prit la main de son amour, toujours assise sur les rochers, la faisant légèrement plus haute que lui.
    -Il n’y a sans doute, aucune personne plus merveilleuse que toi de tout ce royaume, tu as changé ma vie lorsque l’on s’est connu, l’a rendu encore plus belle en me prenant comme amour... Pourrais-tu faire de moi, le serpent le plus comblé de tout ce royaume ?
    Le prince mis un genou à terre en  lâchant la main de sa douce, et sorti un boite, qu’il ouvrit, dévoilant une bague d’or et d’argent ornée d’un saphir, tout en demandant :
    -Me ferais tu l’honneur, de devenir ma femme ?
    Leurs ombres brillaient à la lumière de ce coucher de soleil, immobile seulement quelques instants, quelques petites secondes avant que la bien-aimée ne se jette sur son homme.
    Le prince à terre, la reptile dont les yeux émeraude brillait tel deux joyaux ne garda pas longtemps sa réponse secrète :
    -R-Strof, oui je le veux, plus que toute autre chose.
    Les deux reptiles purent s’échanger un sourire de bonheurs et des regards amoureux, avant de finir avec un baiser passionner.


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